15 décembre 2008
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Impossible n'est pas français " Le projet de la DARPA d'un avion capable d'aller sous l'eau peut paraître absurde, mais tout bien réfléchi n'est pas si utopique que
cela.
Le défi est de taille mais voyons cela plus en détails.
Sur le plan "air " pas de problème , côté "hydravion" on sait que le profilage de la coque est une mauvaise approche aérodynamique.
Quant à l'aspect sous-marin les choses se corsent !. L'étanchéité doit être absolue mais il est évident qu'il n'est pas question de descendre très profond car la structure nécessaire serait alors un sérieux obstacle en poids et en performances.
J'ai donc planché sur le sujet et présente ici les déductions.
Le défi est de taille mais voyons cela plus en détails.
Sur le plan "air " pas de problème , côté "hydravion" on sait que le profilage de la coque est une mauvaise approche aérodynamique.
Quant à l'aspect sous-marin les choses se corsent !. L'étanchéité doit être absolue mais il est évident qu'il n'est pas question de descendre très profond car la structure nécessaire serait alors un sérieux obstacle en poids et en performances.
J'ai donc planché sur le sujet et présente ici les déductions.
Le TAM -Y03
Il faut dans ce projet concilier l'aérodynamisme pour l'évolution "Air" qui à de très fortes concordances avec le milieu liquide dans lequel cependant la
vitesse d'évolution est beaucoup plus lente.
Pour l'évolution en surface j'ai opté pour les hydrofoils qui permettent d'augmenter la vitesse et les surfaces mouillées qui freinent elles aussi.
Il est évident que le plus délicat n'est autre que l'étanchéité des veines réacteurs, du train d'atterrissage et des ailes.
Qu'il est pourvu d'un ballast et d'une propulsion électrique sous l'eau.
Cet appareil ne pourrait être construit qu'à peu d'exemplaire en raison d'une maintenance très soutenue car comme chacun sait l'eau de mer est très corrosive.
De plus les systèmes sont nombreux et un équipage à deux s'impose, quand au compartiment des huit commandos, il est intégré.
Enfin cerise sur le gâteau étant donné qu'il ne peut y avoir un périscope j'ai prévue quatre caméras sur le haut de la dérive pour avoir une vue 360° en vision jour et nuit.
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Pour l'évolution en surface j'ai opté pour les hydrofoils qui permettent d'augmenter la vitesse et les surfaces mouillées qui freinent elles aussi.
Je
précise que volontairement je ne mets pas les plans de détails .
Il est évident que le plus délicat n'est autre que l'étanchéité des veines réacteurs, du train d'atterrissage et des ailes.
Qu'il est pourvu d'un ballast et d'une propulsion électrique sous l'eau.
Cet appareil ne pourrait être construit qu'à peu d'exemplaire en raison d'une maintenance très soutenue car comme chacun sait l'eau de mer est très corrosive.
De plus les systèmes sont nombreux et un équipage à deux s'impose, quand au compartiment des huit commandos, il est intégré.
Enfin cerise sur le gâteau étant donné qu'il ne peut y avoir un périscope j'ai prévue quatre caméras sur le haut de la dérive pour avoir une vue 360° en vision jour et nuit.
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A SUIVRE...